La très forte densité de l’habitat dispersé de la fin de l’âge du Fer est une des grandes révélations de l’archéologie de la fin du 20e siècle, à laquelle ont contribué la photographie aérienne et les grands travaux. Longtemps ignorées en raison de la modestie de leurs vestiges, ces fermes dont les bâtiments étaient construits en bois et en terre se signalent par des fossés d’enclos caractéristiques. Généralement arasés par les labours, les talus qui doublaient les fossés sont parfois conservés dans les secteurs reconquis par la forêt depuis l’Antiquité.
Carte des habitats isolés de la fin de l’âge du Fer (pointage des sites fouillés), d’après Bittel, Schiek et Muller 1990, Malrain Inédit.
La très forte densité de l’habitat dispersé de la fin de l’âge du Fer est une des grandes révélations de l’archéologie de la fin du 20e siècle, à laquelle ont contribué la photographie aérienne et les grands travaux. Longtemps ignorées en raison de la modestie de leurs vestiges, ces fermes dont les bâtiments étaient construits en bois et en terre se signalent par des fossés d’enclos caractéristiques. Généralement arasés par les labours, les talus qui doublaient les fossés sont parfois conservés dans les secteurs reconquis par la forêt depuis l’Antiquité.